ENERGIES RENOUVELABLES : AGIR
Pour une transition énergétique au service de tous
Événement majeur du monde de l’énergie, le colloque annuel du SER, qui réunit plus d’un millier de participants, s’empare chaque année, depuis 25 ans, des sujets stratégiques pour l’ensemble des filières des énergies renouvelables et les met en débat.
La 25ème édition du Colloque annuel du Syndicat des énergies renouvelables se déroulera le mardi 17 septembre 2024 à la Maison de l’UNESCO à Paris.
Cette année encore, le colloque du SER réaffirmera avec force le rôle décisif des énergies renouvelables pour lutter contre le changement climatique, mais aussi pour garantir, dans les prochaines années, la souveraineté énergétique de notre pays et la maîtrise des prix de l’énergie. Il rappellera également l’importance de leur développement pour la relance économique et la réindustrialisation de nos territoires.
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Jules NYSSEN, Président, Syndicat des énergies renouvelables
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Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre de la Transition énergétique
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#ColloqueSER @ser_enr
Jules NYSSEN, Président, Syndicat des énergies renouvelables (SER)
Premier ministre ou ministre de l’Énergie
Vidéo "Micro-trottoir" : la nouvelle génération nous parle des énergies renouvelables
9h20-9h45 : Peut-on être encore climatosceptique en 2024 ?
François GEMENNE, Co-auteur du 6eme rapport du GIEC, Président du Conseil scientifique de la Fondation pour la Nature et l’Homme
Jérôme FOURQUET*, Directeur du département « Opinion et stratégies d’entreprise », IFOP
Après les élections européennes, quel agenda ? Après la dissolution, quels objectifs nationaux ?
Parmi les textes européens essentiels, la loi sur l’industrie zéro émission nette (NZIA), adoptée en avril par les eurodéputés fixe pour objectif à l’Europe de produire, d’ici 2030, 40 % de ses besoins annuels par le déploiement de technologies à émission nette zéro, en se basant sur les Plans Nationaux de l’Énergie et du Climat (PNEC). Cette loi vise à capter 15 % de la valeur marchande mondiale de ces technologies. Elle constitue donc une étape importante pour stimuler l’industrie verte sur le sol européen et doit permettre à l’Europe de construire un secteur industriel compétitif et créateur d’emplois. Dans quels délais sera-t-elle mise en œuvre ? Quels autres textes pour faire de l’Europe le premier continent climatiquement neutre en carbone et capable de se positionner face à la Chine et aux Etats-Unis ?
La croissance des énergies renouvelables constituera l’un des piliers centraux de notre indépendance énergétique. La production des équipements (panneaux solaires, éoliennes, pompes à chaleur, etc.) nécessaires à leur développement renforcera notre souveraineté énergétique tout en participant à la réindustrialisation des territoires. Nous éviterons ainsi de nouvelles formes de dépendance tout en créant des emplois et de la valeur. A cet égard, le Net Zero Industry Act jouera un rôle important, à condition que sa mise en œuvre concrète n’arrive pas trop tard. Quel rôle pour les énergéticiens et pour le réseau électrique dans cette perspective ?
Béatrice BUFFON*, Présidente directrice générale, EDF Renouvelables
Xavier PIECHACZYK, Président du Directoire, RTE
Claire WAYSAND, Directrice générale adjointe, ENGIE
Emmanuelle WARGON, Présidente, Commission de Régulation de l’Energie
Un(e) député(e) européen(ne) (Commission ITRE)
Un représentant de TotalEnergies
Un représentant de RWE
Et la France aujourd’hui ?
Vidéo "Micro-trottoir" : a-t-on besoin d’énergies renouvelables en France ?
La France accuse encore un retard par rapport à ses voisins européens dans le développement des énergies renouvelables. La première loi de programmation quinquennale qui aurait dû être adoptée au plus tard le 1er juillet 2023 et était censée fixer de nombreux objectifs (baisse des émissions pour trois périodes successives de cinq ans, développement des renouvelables par filière…) a fait l’objet de multiples périples et sa présentation n’a cessé d’être reportée. Néanmoins, notre pays doit se doter d’outils majeurs qui permettront de déployer les énergies renouvelables en leur fixant des objectifs par filière.
Où en est-on à l’automne 2024 ? Comment expliquer le retard français ? Peut-on le traduire par un manque de volonté politique ?
4 députés spécialistes du secteur de l’énergie
Daniel GREMILLET*, sénateur des Vosges
Pour réussir la transition énergétique en France à l’horizon 2050, le CESE évaluait, dans un rapport publié en 2023, les besoins d’investissement entre 2 % et 4 % du PIB. Ces derniers vont, dans un premier temps nécessiter une hausse des dépenses publiques et de celles des ménages mais permettront d’éviter une augmentation des coûts de l’énergie, des évènements climatiques extrêmes, de limiter les coûts de l’adaptation et de maîtriser notre balance énergétique. En outre, les emplois créés grâce au développement des énergies renouvelables et à la redistribution des richesses dans les territoires qu’elles apportent, permettront de revitaliser notre pays. D’ici là, il nous faut mobiliser l’épargne, créer des outils financiers adaptés et embarquer nos concitoyens dans la transition. (Politique monétaire et taux d’intérêt bonifiés, mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF), Fonds social pour le climat (outils européens / outils nationaux, Union verte des marchés de capitaux )
Alain GRANDJEAN*, économiste, associé fondateur de Carbone 4
Christine LAGARDE*, Présidente de la Banque Centrale Européenne
Jean PISANI-FERRY*, Président du Conseil d’administration, IC4E
Nicolas WOLFF*, vice-Président, Boralex
La production d’énergie, localisée dans quelques grands sites pendant de nombreuses années, avait disparu de nos paysages. Elle ne figurait pas à l’agenda de nos élus territoriaux, était éloignée du monde rural et des citoyens. Les décisions qui la concernaient étaient, pour la plupart, prises loin du terrain.
Avec les énergies renouvelables, l’énergie est réapparue. Sous forme de parcs éoliens ou solaires, de méthaniseurs, de réseaux électriques ou de centrales biomasse, elle intègre de nouveaux territoires et concerne de nouveaux acteurs, élus locaux, agriculteurs et riverains, citoyens, sans lesquels elle ne pourra pas se développer.
15h00-15h15 : Quel regard porter sur l’évolution de nos paysages ?
Bertrand FOLLEA, Directeur de la Chaire Energie et Paysage, Ecole nationale du Paysage de Versailles, auteur de L’Archipel des métamorphoses. La transition par le paysage, participation à l’ouvrage Paysages et énergies, une mise en perspective historique paru en 2021.
15h15-15h45 : Élus locaux : quelle intégration des énergies renouvelables dans les projets de développement territoriaux portés par des élus locaux ?
Vidéo "Micro-trottoir" : et les projets ENR à proximité ?
La loi APER fait de la planification territoriale des énergies renouvelables une priorité. Elle réaffirme le rôle crucial des collectivités territoriales, en particulier des communes, en termes d’aménagement du territoire en leur donnant de nouveaux leviers d’action et de nouvelles responsabilités. Comment les collectivités locales déterminent-elles les zones d’accélération des énergies renouvelables ? De quelles ingénieries disposent-elles pour y parvenir ? Comment intègrent-elles les énergies renouvelables dans leur projet de territoire ? Peut-on dresser un premier bilan ?
Jean REVEREAULT, vice-Président en charge des transitions écologiques, Intercommunalités de France
Alain ROUSSET*, Président de la Région Nouvelle Aquitaine
Sylvain WASERMAN, Président directeur général, ADEME
15h45-16h15 : Comment accompagner les élus ?
Anne AUCLAIR*, Coordinatrice du pôle Territoires, CLER
Loïg CHESNAIS-GIRARD*, Président, Région Bretagne
Sylvie JEHANNO, Présidente-directrice générale, Dalkia
Marianne LAIGNEAU*, Présidente du Directoire, ENEDIS
Laurence POIRIER-DIETZ*, Directrice générale, GRDF
Nicolas OTT, Directeur du Développement, Elmy
L’agriculture, l’alimentation et la forêt, sont au cœur de la gestion d’une ressource renouvelable essentielle, mais finie : la biomasse. Ses multiples formes sont essentielles à la transition écologique, mais son exploitation peut conduire à des conflits d’usage au moment où les besoins augmentent.
16h30-17h10 : Les enjeux de la biomasse : ressources et usages
D’ici 2050, la mobilisation de la biomasse pour produire de l’énergie doit doubler. Le SGPE estime que, dès 2030, apparaîtront des tensions entre les usages. Il va donc falloir mobiliser plus de ressource et produire plus de biomasse tout en préservant la biodiversité (haies, couvert intermédiaire, taillis à courte rotation) et sans épuiser les ressources naturelles (notamment l’eau). Comment répondre à ce défi ? Comment organiser dès aujourd’hui la gestion de cette ressource et de la forêt pour que cette énergie soit au rendez-vous ?
Frédéric COIRIER, Vice-président du SER et co-président du METI
Antoine PELLION*, Secrétaire général à la planification écologique
Jean-Baptiste SCHWEBEL*, Président de la Commission Bois énergie du SER, Directeur général délégué, ONF Energie
17h10-17h45 : Alimentation et énergies : à la recherche de deux souverainetés perdues
Comme le rappelait déjà un rapport publié par l’OPECST en 2020, l’agriculture se trouve à la croisée des enjeux climatiques et énergétiques. Elle joue un rôle pivot et doit relever les défis de la production végétale et animale, de la moindre émission de gaz à effet de serre, du stockage du carbone dans les sols, du maintien voire de la reconquête de la biodiversité, de la récupération des déchets mais aussi de la production d’énergies renouvelables. Elle permet de mobiliser des terres et des matières premières nécessaires à la production d’électricité, de gaz, de chaleur ou de carburants. Quel rôle nouveau pour les agriculteurs ? Quels bénéfices pour la ruralité ? Quel partage de la valeur ?
Philippe MAUGUIN, Président directeur général, INRAE
David PORTALES*, Président, GLHD
Arnaud ROUSSEAU*, Président, FNSEA
Jules NYSSEN, Président, Syndicat des énergies renouvelables (SER)
Votre PASS (eBillet) vous sera automatiquement envoyé à réception du paiement ou après la validation de votre inscription.
L’inscription au colloque est GRATUITE pour les parlementaires, les conseillers régionaux et généraux, les maires et adjoints au maire, le personnel des administrations centrales, des services déconcentrés de l’Etat, des conseils régionaux et généraux et des collectivités locales, les associations, les journalistes (sur présentation d’une carte de presse) dans la limite des places disponibles.
Merci d’adresser votre demande à l’adresse suivante : contact@ser-evenements.com
Tarif préférentiel*
PASS 1 JOUR
350 € HT
200 € HT
240 € TTC
Cocktail déjeunatoire inclus
Tous types de paiement
Tarif préférentiel*
PASS 1 JOUR
470 € HT
380 € HT
456 € TTC
Cocktail déjeunatoire inclus
Tous types de paiement
* Tarifs préférentiels jusqu’au 31 juillet 2024 minuit.
Passé cette date, les tarifs seront de 350 € HT pour les adhérents du SER et de 470 € HT pour les non adhérents.
Participant : Téléchargez les CGV (pdf).
Pour toute demande, envoyez un email à contact@ser-evenements.com
Toute annulation doit être formulée par écrit (fax, courrier ou email : contact@ser-evenements.com), au moins 14 jours avant le début du Colloque.
Passé ce délai et conformément à l’article L 121-21-8 du Code de la Consommation, un montant forfaitaire de 100 % des droits d’inscription resterait dû.
Un photographe et une équipe vidéo officiels agissant pour le compte du 25ème Colloque annuel du Syndicat des énergies renouvelables prendront des photographies et vidéos de cet événement. En participant à ce colloque, vous autorisez l’organisateur à utiliser les images, pouvant présenter des participants et intervenants, sur tout support de communication et de promotion de l’événement et sans limite de temps.
Accès au live
Participation à distance
150 € HT
180 € TTC
Tous types de paiement
Accès au live
Participation à distance
200 € HT
240 € TTC
Tous types de paiement
Participant : Téléchargez les CGV (pdf).
Pour toute demande, envoyez un email à contact@ser-evenements.com
Toute annulation doit être formulée par écrit (fax, courrier ou email : contact@ser-evenements.com), au moins 14 jours avant le début du Colloque.
Passé ce délai et conformément à l’article L 121-21-8 du Code de la Consommation, un montant forfaitaire de 100 % des droits d’inscription resterait dû.
Participation en présentiel
Gratuit
Un justificatif pour les membres d’un organe de presse est requis (carte de presse, accréditation officielle,…). Il est à envoyer au service communication
Participation en distanciel
Gratuit
Un justificatif pour les membres d’un organe de presse est requis (carte de presse, accréditation officielle,…). Il est à envoyer au service communication
Publications, communiqués de presse, ...
